Message de Jean-Paul II, samedi 07 mai 2011.

Publié le 12 mai 2011, mise à jour le 27 septembre 2018


Je suis le bon pape Jean-Paul II,

Ce matin je suis très sollicité car les demandes affluent de part le monde à mon siège vespéral resté à Rome, cette ville glorieusement sanctifiée. Je continue d’y vivre et d’y régner en maître. J’aime cette ville car le sang qui coule dans ses veines est celui de martyrs et de Saints. Quel honneur pour moi d’y avoir apporté ma sagesse et mon savoir, éclairé par l’Esprit Saint qui ne m’a jamais fait défaut !

Chaque matin, dans ma prière associée à notre Sainte Mère, je lui demandais de m’éclairer, de mettre les bonnes paroles en accord avec mes actes. Je demandais les bonnes initiatives, tout ce qui pouvait apporter au monde foi, piété et conscience. Je restais parfois des heures prostré avant de reprendre mon labeur. Je me levais tôt jusqu’aux derniers moments de ma terrible maladie, qui m’a enfermé dans un scaphandre. Mon isolement je ne pouvais même plus me toucher, me gratter, plus rien de normal dans mes gestes. Mais j’ai tenu bon car mon esprit était resté connecté au Divin. Je lui disais : « Père, Seigneur, je suis ton serviteur et je ne quitterai ton service que lorsque tu le souhaiteras. Ta volonté, toujours rien que ta volonté. »

Il n’a pas voulu que je cède sous le poids du fardeau, ni à cause des conséquences du geste imbécile qui voulait me donner la mort. Pourtant cette mort aurait été plus douce en comparaison à ce que j’ai subi sur la fin de ma vie. J’ai vécu un calvaire alors que cet attentat m’aurait délivré. J’ai toujours su que la mission à laquelle j’étais dévolu, demandait plus de sacrifices que d’honneurs. J’ai tout accepté et sur ma route j’ai croisé tant des belles âmes qui l’ont éclairé magistralement. Ma chère enfant, nos routes se sont croisées et tu croiseras celle de Benoit.

J’ai initié les JMJ grâce à l’Esprit Saint qui m’a donné le désir et la force d’accomplir cette grande réalisation planétaire. Les JMJ c’est la nouvelle évangélisation. N’ayez pas peur de vous engager au côté de ces jeunes. Il faudrait que chacun d’entre vous y participe au moins une fois, jeunes ou moins jeunes, car c’est l’image de l’Église vivante en chemin.

Ma chère enfant, tu vas retrouver tes ouailles et vous allez vous réunir pour la prière de guérison. Je serai avec vous et ainsi j’imposerai mes mains sur vous pour vous pardonner et intercéderai pour vous obtenir la guérison. Tu pourras ajouter à ta supplique cette prière à mon égard.

« Saint bienheureux Jean-Paul II, regarde en nos cœurs la foi qui les anime. Daigne poser ton regard sur nous et intercède pour nous afin que nous obtenions les grâces que nous demandons et que nous soyons guéris de nos fautes et de nos maladies. Amen. »


calle
calle
calle