Rends à César ce qui est à César (Matthieu 22, 15-21.) Soeur Emanuelle.

Publié le 23 octobre 2008, mise à jour le 1er mai 2010


Bonjour ma chère Claude,

Je suis Saint Jésus maître du temps et de l’espace. Je viens en ce jour béni où tu rends grâce pour ma Sainte sœur Emmanuelle de retour parmi nous.

La joie des retrouvailles a été fantastique ; son rire éclate dans tous les sens du ciel. Elle chante car elle sait que sa fidélité et sa confiance en moi n’ont pas été vaines. Oui ce Jésus qu’elle a tant aimé est là bien présent à ses yeux. Je suis son amoureux m’a-t-elle dit ! Et que malgré ses moments de doute, son amour pour moi était encore plus fort.

Cette belle âme est unique et son œuvre n’aura pas de fin. Elle est la pionnière de l’amour exclusif pour moi, dans l’action, la joie, la prière. Amen. Elle n’aimait pas la souffrance et n’aimait pas voir souffrir les autres autour d’elle. Je l’ai épargnée de toutes maladies et dès son arrivée, en me retrouvant elle m’a dit : « Je veux continuer à aider mes frères de la terre. »

Ma chère Claude, priez-la, elle vous exaucera en intercédant pour vous. Amen.

Maintenant quelques mots sur le texte de l’Evangile.

Les affaires monnayables des hommes ne sont pas mes affaires. La reconnaissance et la dévotion qui me sont dues appartiennent à la sphère céleste. La terre est le domaine de l’humanité, je la lui ai confiée. Vous devez vous en occuper équitablement envers tous. Moi j’attends l’avènement de Ma terre, Mon Royaume, où là je recevrai ce qui m’est dû.

Ton Seigneur et Maître Jésus de Nazareth ton Dieu


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