Vision de l’Assomption reçue par Laurent.

Publié le 18 août 2008


« La vision commence par un coucher de soleil, il doit être 17 ou 18 heures, le soleil est rouge, comme lors de ces fins de journée d’automne. La journée a du être chaude, on sent la fraîcheur qui tombe. Marie est là, est surplombe la scène. Pas de couronne d’étoiles, un simple voile blanc couvre sa tête et tombe jusqu’à ses pieds nus. Elle écarte son bras gauche et me montre. Je vois une toute petite maison au toit plat, une pièce à l’étage, cette maison est simple, et est la dernière d’une rangée de maisonnettes identiques dans cette rue. »

Marie parle : « voici ma simple demeure, la maison où Jean l’Aimé m’a recueillie. C’est ici que j’ai fini mes jours terrestres entourée de l’affection de Marie Madeleine ma fille, de Jean mon fils et de nos amis en Christ. Nous sommes à Nazareth, j’ai voulu revenir ici, le village des ancêtres de mon époux béni. J’ai quitté ma vie terrestre après quelques mois de grande fatigue, mon corps vieilli, fatigué et empli de ma douleur de mère meurtrie a dit assez !

Comme j’etais alitée, Marie Madeleine m’a entourée de son amour jusqu’à mon dernier souffle. J’ai si longtemps entendu Jean et Marie Madeleine pleurer en bas, le soir, quand ils me croyaient endormie, que je priait mon Divin Fils de me rappeler à lui vite afin d’abréger leur détresse.

Puis mon heure est enfin venue. Je suis « morte » comme tous les terriens. Jean et Marie Madeleine se sont occupé de mon corps selon le rite juif, c’est le seul que nous connaissions. Ma fille s’est occupée de tous les soins et Jean mon fils a trouvé une sépulture.

Ils ont gardé cet endroit secret car ils ne voulaient pas de culte malsain. Même leurs amis les apôtres n’ont jamais su ou ma dépouille reposait. »

Sainte Mère, et l’Assomption ?

« Un Dogme de l’Eglise, qui permet de se rappeler de mon oui : oui au père, oui au fils, oui à mon époux béni. Grâce à cette fête, l’humanité porte à Marie Sainte l’amour et la dévotion dus à une mère.

Fêtez l’Assomption comme il se doit, c’est pour Moi « la fête de la Mère »

La vision s’arrête sur ces mots.


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