En réponse à :

Les commandements de Jésus, Matthieu (22, 34-40).

Publié le jeudi 30 octobre 2008
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Les commandements de Jésus, Matthieu (22, 34-40).

samedi 8 février 2014

J’ai parfaitement compris ce que vous dîtes, d’ailleurs nos analyses convergent. Rosella éditrice de cette page de voyance gratuite en ligne.



ci-dessous le texte de l'article
Les commandements de Jésus, Matthieu (22, 34-40).
Publié le 30 octobre 2008  (Mise à jour le 1er mai 2010)

Ma chère Claude,

Dans cet extrait de mon Evangile, je donne aux hommes de mon temps l’intégralité de mon message : « Hommes de la terre il n’y a que deux règles pour vivre selon la volonté divine ».

Il faut aimer Dieu en premier, le Seul, l’Unique, le Véritable, le Créateur de toutes choses, le grand architecte de l’univers, notre Père à tous, le seul qui mérite louanges et gloire et que nous lui rendions grâce jour et nuit. Il faut ensuite vous aimer, aimer l’autre comme vous vous aimez. S’aimer c’est respecter son corps car il est le temple de votre être spirituel. Aimer l’autre c’est comprendre et accepter d’être créé par Dieu l’Unique. C’est-à-dire que la vie qui m’habite ne vient pas de moi mais de ce Dieu créateur par amour pour nous.

Aimer mon prochain c’est aimer celui qui me fait face, qui se fait proche de moi, celui que je croise, celui qui m’ignore, celui qui me sourit, celui qui me blesse, celui qui m’accueille, celui qui me rejette. Je dois aimer l’autre dans toute la dimension de son être car je suis dans l’autre et il est en moi. Aimer son prochain c’est d’abord s’aimer soi-même, c’est aimer l’être qui est en lui. Toute l’humanité se trouve dans mon prochain. L’autre n’est que le reflet de mon âme dans sa diversité de comportements.

Plus tard dans la parabole du Samaritain je demande : « Qui est le prochain ? » c’est peut-être celui qui se penche, qui s’arrête pour soigner le blessé abandonné, car en s’arrêtant ainsi le samaritain, lui même rejeté, en soignant cet homme c’est lui même qu’il soigne. De sa situation de paria il s’affranchi en trouvant dans l’autre un amour réciproque.

Aimer Dieu, aimer son prochain, s’aimer soi-même voilà le corollaire de l’homme debout. Amen.

Christ et Seigneur Jésus de Nazareth


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